Innover, c’est sortir du cadre
Innover, c’est d’abord imaginer autre chose : aller « ailleurs », « plus loin », « autrement »
On peut innover sans utiliser aucune nouvelle technologie, sans faire appel à des experts extérieurs ou des ressources supplémentaires. Souvent, on a tout ce qu’il faut en interne. Il faut juste sortir du cadre.
L’innovation peut passer par une transformation de l’existant à ressources constantes (ou à peu près constantes). Imaginer une nouvelle manière de faire, de produire, de contrôler, de vendre, de s’organiser, d’utiliser telle ou telle ressource…
L’usage fait l’innovation, pas la technologie
On peut sortir du cadre à ressources constantes.
Mais toutes les nouvelles technologies qui sont désormais à disposition permettent de sortir plus loin et même d’aller dans une nouvelle direction inimaginable auparavant.
L’important n’est pas la technologie elle-même, ce sont les nouveaux usages permis par ces technologies. L’innovation sera dans le choix des usages, l’intendance technologique suivra !
Technologies et Innovations
Ces domaines d’innovation sont ceux qui peuvent modifier en profondeur les métiers de l’entreprise et rendre plus performants les systèmes d’information existants, notamment en leur donnant des capacités inaccessibles jusqu’à ces dernières années.
Intelligence artificielle
Tout le monde en parle à commencer par tous les médias, on a l’impression que tout le monde en fait et que tout est possible, le pire comme le meilleur. Chaque jour, les GAFA et BATX font surenchère d’annonces sur leurs derniers exploits.
Il est certain que comme le reste de l’informatique, ce domaine va être tiré par ses applications grand public et que le contexte quotidien en sera bouleversé.
- Donc, toute entreprise ayant des clients est amenée à s’y intéresser.
- Mais également, toute entreprise ayant des employés devrait aussi s’y intéresser pour ses services et processus internes.
- Afin de transformer son entreprise en entreprise augmentée.
La complexité est réelle mais ce n’est pas une raison pour ne pas y aller.
Ce domaine est complexe à l’image de la complexité du cerveau humain : On y parle algorithmes, statistiques, machine learning, deep learning, réseau de neurones, apprentissage supervisé ou non supervisé et autres termes qui ressemblent, pour le non-initié, à du charabia : Machines à vecteur de support, forêts d’arbres aléatoires…
BRAINNOV peut vous aider à y voir clair :
- Comprendre les technologies mises en œuvre
- Imaginer les applications possibles
- Evaluer les besoins et contraintes data associée
- Sélectionner les bons partenaires
- Mesurer l’impact organisationnel et humain
Blockchain
On en parle un peu moins que de l’intelligence artificielle sauf pour les cryptomonnaies, le fameux BITCOIN ! Pas toujours en bien et à juste titre, pour ces monnaies très spéculatives. Mais l’impact de la technologie Blockchain pourrait bien être aussi important que celui de l’IA.
Un pacte de confiance numérique
A la différence de l’Intelligence Artificielle, la technologie est, vue de loin, unique. Globalement, cela permet de certifier une transaction sans faire appel à un tiers de confiance.
Mais dans le détail, les implémentations de cette technologie peuvent être significativement différentes d’une blockchain à l’autre, certaines implémentations pouvant présenter des faiblesses, voire permettre du piratage. Bitcoin, Ethereum, Hyperledger sont des implémentations connues de blockchains publiques sérieuses, il en existe des dizaines d’autres mais il y a aussi le développement des blockchains privées, souvent dans le cadre de consortiums liés à des secteurs (banque, assurance, …)
Tout le monde utilisera des blockchains
Face à cette technologie, l’entreprise doit analyser ses processus dans lesquels interviennent des transactions. Par exemple, un paquet qui voyage est, sous l’angle de la blockchain, une suite de transactions entre les acteurs de la chaine logistique. La certification de ces transactions peut être assurée par une blockchain.
BRAINNOV peut aider une direction générale à y voir clair :
- Comprendre la technologie sous-jacente au concept de blockchain
- Analyser les processus de l’entreprise sous « l’angle blockchain » pour identifier les applications possibles
- Sélectionner les bons partenaires
- Mesurer l’impact organisationnel et humain
Sans jamais perdre de vue le côté opérationnel de l’Entreprise : Pour cela, une grande expérience du fonctionnement des entreprises est nécessaire en complément de l’approche technologique.
Data
Cela fait pas mal d’années qu’on en parle, tout particulièrement depuis que le mot digital est venu remplacer le mot informatique et que les articles sur la « disruption digitale » ont fait florès. Aujourd’hui, on s’interroge sur l’utilisation de ces données et des règlementations voient le jour comme le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) au niveau européen.
Soyons Data Centric
On peut regarder les données de l’entreprise et agir sur elles de 3 façons différentes dans cette logique dite « data centric » :
- BIG DATA : on met « toutes » les données ensemble et on essaye de les faire parler. Tout un écosystème a été développé pour cela autour d’HADOOP
- OPENDATA : On enrichit les données de l’entreprise avec des données extérieures « ouvertes », généralement publiques, parfois privées. On peut aussi décider de mettre à disposition certaines données de l’entreprise de façon « ouverte » en estimant que l’utilisation de ces données par des acteurs externes aura, in fine, un effet positif sur l’entreprise
- SMART DATA : On réfléchit d’abord sur les données (humainement ou plus souvent à l’aide d’algorithmes d’intelligence artificielle ou de statistiques) pour traiter, souvent en temps réel, les données les plus PERTINENTES
Le conflit Data – Organisation – Réglementation
L’approche DATA au sein de l’entreprise peut être extrêmement perturbante vis-à-vis de l’ORGANISATION de l’entreprise. Les organisations actuelles ne sont pas pensées en fonction des data mais des processus. D’où des difficultés internes : incohérence des données, incohérence des référentiels, querelles de « chapelles » entre entités internes autour de la propriété de la donnée, etc. Et la RÉGLEMENTATION telle que le RGPD complique un peu plus l’équation.
Débusquons la valeur cachée des données
Il est néanmoins possible de tirer une vraie valeur des données de l’entreprise en les rapprochant entre elles tout en respectant les contraintes du RGPD mais aussi les règles de confidentialité internes de l’entreprise. On peut concevoir des architectures de lac de données (DATA LAKE) extrêmement puissantes et néanmoins 100% conformes. Là encore, c’est l’usage qui fera la valeur extraite des données.
BRAINNOV peut aider une direction générale à y voir clair :
- Comprendre les arbitrages possibles Réglementation – Confidentialité – Usage
- Imaginer des usages possibles, sortant du cadre habituel, à haute valeur ajoutée
- Sélectionner les bons outils et partenaires pour la mise en œuvre
- Mesurer l’impact organisationnel et humain des transformations associées
Demain, de nouveaux domaines sont en train de poindre et nous ferons en sorte de les maîtriser aussi : IoT, 5G, Informatique Quantique…
Méthodologie BRAINNOV
La méthodologie a été expérimentée et rôdée sur des dizaines de projets, améliorée à chaque fois qu’un projet avait un peu dérapé en l’adaptant pour réduire, par anticipation, les risques de faiblesses ainsi révélées.
La méthodologie BRAINNOV est le fruit de l’expérience
La méthodologie BRAINNOV est inspirée de la méthodologie Stage-Gate ® de Robert G. Cooper and Scott J. Edgett inventée il y a plus de 30 ans pour gérer l’innovation et le développement de nouveaux produits.
Fruit de 30 années de pratique opérationnelle dans des contextes de R&D industrielle ou d’informatique, notre méthodologie a été constamment améliorée projet après projet car nous avons pu percevoir à la fois les atouts et les limites de cette approche.
Enrichie plus récemment par les apports des méthodologies agiles comme Scrum, la méthodologie BRAINNOV se veut facile à mettre en œuvre, souple et adaptable à tous types de projets. Elle fournit néanmoins un cadre structurant visant à sécuriser l’exécution du projet (qu’il s’agisse d’une étude stratégique ou d’une mise en production d’un applicatif informatique) et est, par construction même, « agile by design ».
La méthodologie BRAINNOV est simple à utiliser
Que l’on souhaite travailler par phases classiques ou par itérations agiles, la méthodologie BRAINNOV insiste tout particulièrement sur la phase initiale dite de « cadrage » et propose différents outils pour garantir, dès le début du projet, de viser le bon objectif avec les bons moyens et se doter d’instruments de mesure des écarts que le projet pourra connaître tout au long de sa vie (pour de bonnes ou mauvaises raisons).
La méthodologie BRAINNOV est néanmoins très simple à appliquer, elle fonctionne aussi avec des feuilles de papier et un crayon. Il faut juste ne pas égarer les feuilles de papier ! Mais on peut utiliser aussi un peu de bureautique ou même l’implémenter dans un logiciel de gestion de projets comme cela a été déjà fait.
La méthodologie BRAINNOV est une discipline basée sur l’anticipation
Par conception même de cette méthode, la méthodologie BRAINNOV est totalement adaptable à vos méthodes et à vos outils de façon à ne pas changer vos pratiques. Elle peut même être appliquée de manière cachée ( !!) et sera donc totalement transparente si tel est votre souhait. Sa philosophie de base est l’ANTICIPATION appliquée à toutes les dimensions d’un projet.
Elle ne garantit pas malheureusement à 100% le succès d’un projet mais elle augmente très fortement sa probabilité de succès.
Une autre de ses valeurs ajoutées est d’aider à décider suffisamment tôt d’arrêter un projet et donc d’arrêter de dépenser de l’argent inutilement. Dans ses phases de pré-cadrage et cadrage, elle peut même vous conduire à ne pas lancer le projet ou à le différer ou à le repenser complètement.
L’expérience de celui qui pilote le projet
Néanmoins, quelle que soit la méthodologie appliquée, rien ne remplace l’expérience d’un chef de projet et tout particulièrement sa capacité d’anticipation qui est la première qualité d’un chef de projet. L’expérience nous a montré que cette capacité à anticiper n’était malheureusement pas suffisamment développée chez nombre de chefs de projet. La méthodologie BRAINNOV peut aider à compenser ce handicap.
Livrables BRAINNOV
En début de mission, les livrables sont clairement identifiés dès le début selon le type de projet et leur production est positionnée dans le plan projet.
Exemple d’une étude stratégique : 4 livrables
- Marché, produits de l’entreprise et revue de la concurrence
- Acteurs internes
- Applications & data internes
- Contraintes : Réglementation, Budget, etc.
- Forces et Faiblesses
- Opportunités et Menaces
- Description : Technologies, fonctionnalités
- Valeur Ajoutée
- Risques
- Classement argumenté des choix possibles
Pour un objectif prioritaire identifié, scénario possible
- Eléments à créer
- Eléments à modifier
- Eléments à supprimer
- Impact sur Produits, Acteurs, Processus, Applications, etc…
- Evaluation de la Valeur Ajoutée et des Risques Associés
- Estimation coût – planning
- Synthèse du contexte
- Proposition d’un ou deux axes prioritaires
- Scénario recommandé avec options
- Synthèse sur les moyens : budget – ressources – planning
- Points à surveiller
- Eventuellement, ouverture vers une suite possible
Les livrables sont réalisés sous forme de documents Word ou PDF, présentations Powerpoint, Tableaux Excel ou sur certains outils spécifiques à la gestion de projet selon les choix du client.
Le livrables seront adaptés à chaque type de projet ou de mission.
Approche Humaine BRAINNOV
La techno et la méthodo ne garantissent pas le succès
Une parfaite maîtrise du fonctionnelle et des technologies en s’appuyant sur de bons experts et une application à la lettre voire pointilleuse de la méthodologie ne garantit nullement le bon déroulement d’un projet et son succès final.
L’humain d’abord
Un projet, c’est avant tout des femmes et de des hommes qui travaillent ensemble pour un même objectif et le principal facteur clef de succès d’un projet est la cohésion des membres de l’équipe. Comme au football et dans les sports collectifs en général, une équipe constituée de membres assez loin des meilleurs mais soudés et motivés peut gagner face à des équipes bien plus performantes sur le papier.
Le modèle d’Herrmann sur les préférences cérébrales
A BRAINNOV, nous accordons une importance toute particulière aux personnes, à leur fonctionnement personnel et interpersonnel. Nous nous sommes notamment appuyés pendant de nombreuses années sur un modèle simple, on peut même dire simpliste, mais extrêmement efficace, le modèle de Herrmann (HBDI®) qui permet de « comprendre » les modes d’actions préférentiels d’une personne.
Notre approche en pratique
Lorsque 2 personnes interagissent, leurs modes d’actions peuvent être en synergie ou au contraire en opposition. Si les deux personnes prennent chacune conscience de leur différence avec l’autre qui interagit avec elle, sans rien changer à leurs modes d’action, elles peuvent mieux coopérer car elles se comprennent mieux.
Trois bénéfices :
- Les personnes : Bien-être au travail
- Le projet : Meilleure coopération => Plus grande efficacité
- La direction : Tranquillité ! Peut se consacrer à autre chose !!
Bien entendu, cette dimension humaine ne se limite pas à cela, il y a plein d’autres éléments auxquels il faut prêter attention :
- Faire preuve d’empathie, s’intéresser aux personnes
- Etre attentif aux signaux faibles
- Ne pas stigmatiser les échecs
- Féliciter, même pour de petits succès
- Fêter les réussites
- Etre disponible
- Ecouter
- …